C’est l’IGAS qui l’écrit « S’agissant de l’apprentissage, entre 2018 et 2023, le nombre d’entrées en apprentissage a été multiplié par 2,7 en passant de 321 000 à 852 000, porté à 62 % par le développement de l’apprentissage dans l’enseignement supérieur, en particulier pour les formations supérieures à Bac +2.
Du côté des employeurs d’apprentis, les primes à l’embauche (4,6 Md€ en 2022) ont pu induire des effets d’aubaine tandis que le soutien public à l’apprentissage dans l’enseignement supérieur apparaît disproportionné au regard de ses effets sur l’insertion dans l’emploi, certes positifs mais quantitativement décroissants avec le niveau de qualification. »
A l’heure de la bonne gestion de la dépense publique, faut t il de nouveau rappeler à l’Etat qu’il dispose d’un opérateur public l’#afpa qui depuis 10 ans à fait la preuve de sa performance dans l’insertion des publics les moins qualifiés et avec un cout de parcours inférieur au contrat d’apprentissage .
